3h de vol depuis Delhi et nous voila à Kochi,
c'est parti pour 6 jours en famille (Lou nous a rejoint pour 15 jours) !
Le lendemain direction le marché aux épices car Kochi a été une plaque tournante de ce commerce.
En chemin nous faisons une pause au Pepper House
Achat de cardamome verte (690 inr les 300 g), anis étoilée (110 inr les 100g), cannelle (160 inr les 200 g) et poivre noir (150 inr les 200 g) chez M/S J.Hari Pai, Spices & Masala, Mattancherry Bazar
puis quelques mètres plus loin nous faisons un stop à l'ancien marché mais la boutique à l'étage vend les épices beaucoup plus cher donc préférez les petites boutiques de la rue si vous voulez faire des achats.
Pause au frais chez un antiquaire dont la boutique a des airs de caverne d'Ali Baba (Kerala Handicraft, 5/2021 Bazar Rd).
puis déjeuner au Ginger House Restaurant (cadre sympa au bord de l'eau mais service pas très aimable)
retour à pied par les petits rues du quartier.
Goûter avec les délicieuses pâtisseries de Trouvaille (sur Princess Street) et pour le diner nous retournons au restaurant du Forte Hôtel mais cette fois nous nous installons dehors près de la piscine.
Extrait d'un article sur "Cosmopolite Cochin" qui décrit bien la ville :
"Avant même que le monde soit international, Cochin l'était. Dès l'Antiquité, l'ancienne Muziris voyait défiler Phéniciens, Romains, Chinois et Arabes. Comptoir commercial incontournable sur la côte de Malabar qui donne sur l'océan Indien, à l'extrémité sud-ouest de la péninsule indienne, il fournissait poivre noir, perles, soies fines, mousselines, écailles de tortue, gingembre et indigo. Cochin était tolérante : sur un fond de croyances hindoues, communautés chrétiennes, juives et musulmanes s'y mêlaient sans heurts. Aujourd'hui encore, les rues de Fort Cochin se colorent de façades rythmées par tous les cultes, à commencer par le quartier juif dont les vestiges se découvrent au milieu de vastes entrepôts d'épices." ..."Multiculturelle depuis la nuit des temps, la ville fut naturellement choisie en 2012 par le gouvernement pour y implanter la première biennale d'art contemporain en Inde."
et à lire l'article de Clara Le Fort ici
A suivre ...
Dis donc quel sacré voyage en famille. Que de merveilles et de souvenirs pour
RépondreSupprimervotre dernière année en Inde. Bisous ma Grande.