Réveil à 6h30 pour profiter de la ville au lever du soleil
Séances photo de mariage avec un petit air de "Princes et princesses"
Petit déjeuner dans la cour de notre hôtel (découverte du poha : des flocons de riz cuisinés avec des oignons, du curcuma, des graines de moutarde, des cacahouètes et un peu de jus de citron) puis nous retrouvons Hema dans sa charmante petite maison du quartier des tisserands.
Elle nous emmène ensuite à Women Weave Handloom School.
En ce moment 12 jeunes filles de Maheshwar étudient mais en période hors Covid des étudiantes de toute l'Inde viennent se former ici. C'est l'heure du cours d'anglais avec David, un volontaire américain qui a une technique ludique d'enseignement jouant sur la musicalité de la langue.
puis le professeur de tissage nous fait la démonstration d'une technique provenant du Gujarat
Hema et Darshana nous emmène ensuite à Amba Weave, la structure qu'elles ont à cœur de faire vivre.
Wasim, le responsable de la petite unité nous fait les présentations
Le dessin de la bordure qui va etre traduit sur le dobi ci-dessous et qui va permettre le tissage du motif
Darshana nous présente quelques pièces des collections d'Amba Weave et nous explique leurs inspirations
Nous avons ensuite la chance de découvrir l'unité de production de Women Weave avec Anupam comme guide
Le filage du coton
Ci-dessous la cuve qui permet de stocker l'eau de teinture. qui est ensuite collectée pour être traitée
Préparation de la chaine du métier à tisser
La salle où se font les finitions (franges, étiquetage, repassage, pliage, emballage ...)
puis la boutique où il a été difficile de ne pas tout acheter !
handloom cottons entre 650 et 800 inr/ mètre
Puis terminer la journée par une nouvelle balade sur les ghats (avec d'autres mariés)
et un tour de bateau pour aller voir une mini cascade (cela doit être plus impressionnant à la fin de la mousson, en attendant le lieu sert d'entrainement à l'équipe nationale de kayak)
2 jours à Maheshwar bien remplis et déjà l'envie de vite y revenir ... Mille mercis Hema !
Que de merveilles à nouveau ! Et de belles rencontres surtout ! Quasiment tous ces artisans travaillent assis par terre, est-ce qu'avec le temps ils souffrent de troubles musculo-squelettiques liés à cette position ? Que font-ils pour y remédier ?
RépondreSupprimerJe n'ai pas d'infos sur les éventuels troubles liés à cette position mais la souplesse des indiens est impressionnante, la position accroupie notamment dans laquelle ils peuvent rester des heures sans crampe ni fatigue.
RépondreSupprimerJe me souviens bien de la position de Lou quand elle
RépondreSupprimers'asseyait à même le sol à la façon indienne quand elle
était petite.... le fait-elle encore ?... Ton reportage
est magnifique. Merci ma Grande